Délice des quatre saisons.
Géhenne, j’ai haine … Quand ton souffle, rapt de mon cœur de mie m’ensevelit sous les milles et une nuit ... J’ai hâte de ces instants de vie et j’ai fièvre de cet acte d'Éden où aubaine mon corps se fait déesse sous le jonc d’apollon. Ta main petit coton entre mes seins où tes petits doigts flocon auscultent mon cœur. Où Uranus se fait rai le long des reins, où Cupidon don d’édredon bourgeonne ramure de délice. Ta fine lame se fait fin gourmet, harponne mes courbes cendrées. Sans armure j’offre la colombe de mes jupons et j’ose l’envol en toute saison. Sous mon panty de verre se dandine fragile pantin de chaire, la chair d’un bourgeon, gelée de fraise aux arômes de rose. Quand d’un frôlement de toupet tu effeuilles ma corolle, les bras en croix d’une prière argentée, prient mes affres charnelles, apyres. Oui mon nom est femme ou l’ai-je égaré sur le fleuve à l’eau d’argentine … Femme hirondelle d’un faubourg, quand mon pouls devient femme fleur, je voudrais avoir un nid pour toujours.
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