La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Vent d’automne …

 

Il pleut et le cafard m’enveloppe de sa couverture morose. J’ose même la nausée … Les larmes cendrées de mon âme batifolent et dans les champs de blés, la blondeur de l’été s’abandonne au sombre de l’automne et lugubres et mornes mes pensées cambriolent mon intimité.



26/09/2012
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