Arôme blanc.
La mélopée du temps
se sclérose dans le vent
la blancheur des printemps,
se referme mon corsage,
poitrine au couchant.
La ménopause d’une corolle,
se meurent mes lèvres.
Mais reste ouvreuse ma fièvre,
à l’ombre des tes caresses
la pudeur de mon ivresse,
monopole.
Dans tes cheveux
ma main cherche l’émotion de la pucelle,
la vierge et le bon dieu.
Et dans tes yeux
un bruissement d’ailes,
mon cœur prend le large
et mes seins griffonnent un sans-bagage.
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