Instant ciné.
Elle la regarde l'étrangère du bas-côté, des bruits de gouttière. Traîne aux vents maudits. Elle a de l'humour la gueuse, ses pas traînent sur le plancher et elle fredonne :
- « My life, my psychose because six roses, my psychose, cirrhose because my life is six roses, cirrhose, end.
Elle est fragile Lily, bateau blanc au levant.
Si elle vit dans sa psychose n'oubliez pas que la folie c'est sa vie ! La rive d'une main, des pleurs dans la tranchée, des crayons de couleur pour maquiller un monde. L'ardoise se fissure, des lézardes sans mur, jupon blanc, taches de mûres, qu'âme isole, camisole. La lettre du prisonnier, oblitérer la marge soliste d'un brouillon, écrire à en mourir et se laisser revivre de page blanche en feuilles mortes.
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