J’ai osé …
Ce mirador et une nuit, mononucléose sur ta lèvre la fièvre, charmille d’un vent, le temps ose gifler ta joue. Les caresses d’un joug, diablesse la ménopause flagelle l’ivresse de la bergère, tristesse sur la fesse, le miel et la gueuse, clocharde d’une vie la belle endormie.
J’ai osé le reflet de ta peau …
Mira dort et la vie givre de jouvencelle flirte au bord de sa prunelle. Les caresses de la rose aubade sur ses lèvres, l’ivresse berceuse de ses cernes, tant la belle de nuit referme son corset au secret d’un été.
Prélude sur ta peau la rosée des roseaux.
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