L'albatros.
D'un vol lourd trader des jours moroses,
vogue passeur nu,
long-métrage des feuilles mortes.
Aux aurores de tes pleurs
la vague est cette ingénue.
Aux premières morets
s’égaye une jouvencelle au souffle du Nordet.
Tes ailes blanches veilleuse d’outre-port.
Á l'ancre de tes marins fleurissent les roses
tant la mer est bleue drapée de ton voilage.
Au sablon du dernier lieu l'écho de ton sillage.
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