Un peu plus loin ...
Un peu plus haut, un peu plus ...
Te serrer encore dans mes bras,
un peu plus loin,
toujours plus haut, toujours plus
contre toi …
Reviens moi !
Comme une légende,
les hauts de hurle le vent,
libertins du temps,
ma main s’agrippe à ton bras
comme une jeune mariée,
le cœur égrené.
Mes mains épousent ton corps,
mon souffle un peu plus fort,
cerbère de notre corps à corps.
Encore un peu de ta sueur
dans nos draps,
rien qu’une autre fois
nous serons fugitifs sans foi.
Regarde !
Les étoiles sont comme des vagues,
madragues
des amants.
Un peu plus doux,
un peu plus fort,
un plus d’encore,
prends garde,
le firmament
n’est que mirage …
Garde fou
de la sage femme du temps,
tant de sages
ont sabré
leur naufrage
au milieu des étoiles.
Tu es si loin,
j’ai perdu ton odeur !
Les anges sont les voiles
de toutes les douleurs
du cœur.
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