Lave du destin.
Merci mon amie,
Le temps vous prostitue de ses draps blancs, vous exhibe tendrement linceul dans le vent, exil au levant, suaire au couchant d’une couche poussière d’argent. Traînée aux bras nus, regard d’une avenue, le temps est inconnu, pourtant claquent ses pas sur l’asphalte trop connu. Le feu s’éteint lentement au creux d’une histoire et la misère c’est toujours sur le bas côté d’une route …
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