Le nid de la vieille ...
Je m’allonge sur les bancs de l’automne, le cœur égratigné comme un été fané. Au creux de ma main l’océan de mes yeux, ses lignes si fragiles à l’affût d’un chemin … J’ai la migraine de l’hiver celle qui ensorcèle les veines. J’ai pourtant tant prié de renaître au printemps, oisillon égosillé.
J’ai écrit ces quelques lignes en songeant à maman … Ne voyez en ce texte aucune forme péjorative.
RD
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