L’échiquier.
Sous la mousson j’ai perdu nos guenilles, la femme éperdue et son reflet d’enfant, échec et mat … On se bouffe le nez sur un écran de télé. L’éther est un benêt, il raconte de vieux maux … Un sonnet dénoté, un quatrain sans catin, une larme de putain gémit pour un demain. Traînée de poudre d’un chemin, Lolita et pervenche, trottoir endimanché, jupon de velours, tu mates. Corsage sur la corniche, je dégrafe l’amour, échec. Un pinceau gueule d’amour, aquarelle de pucelle, la gitane et son blues, le roi et la dame, le fou et sa tour, Roma, romanichel, nos sermons à l’échelle étoile du verger. La vie est si courte, brindille, et naphtaline.
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