Lutin.
Paris Berlin, une fleur à la main et ce mur de vaurien, des fleurs, un bal et j’ai mal … Un chandail brouillon de Shanghai, des cris, des larmes, les fleurs du mal, ne dis rien … On se donne la main, l’Olympe, nos roses, le cœur comédien, le bout de tes doigts bohémien en vadrouille … Un lange de Vienne, me viennent la sueur du grand froid et la faim d’une louve et s’amoncellent les fleurs du temps, pucelle à la robe légère, roses trémières au jupon d’infirmière. Assise sur un banc, les parapluies de Cherbourg, une rose des sables à la main, le givre caresse nos pierres, le remblai de la vie brise-lames, un vieux mur garde-fou, dans nos mains herbe tremblante, les fleurs du bien, les fleurs du mal.
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