Partiellement vôtre …
Et cette brume qui s’envole sanglot …
Où t’en vas-tu mignonne ?
Auprès de la rose ne reste qu’un écho,
un cœur en hypnose.
Le cœur a ses raisons et l’amour ses devoirs d’écolier, posée sur un pupitre la dernière leçon.
Il est cinq heures et je t'attends primevère de mes printemps, éperdue dans cette déferlante d’adolescente ... Autant en emporte ma dernière saison, viol hivernal ... T’en souviens-tu belle enfant … Quand mon chignon frissonnait dans l’herbe à la main friponne. Á l'esquille de nos minuits pansés résonne un jeu de quilles sur l’oreiller … Raisonne au bout de mes doigts la cueillette des violettes à l’aveuglette. Déraisonne pensées, le violet des pensées volages aux pétales marins à l’abandon du grand voilier. Quelques instants se dérobent, robe d’automne, s’enrobe un châle feuilleté de larmes enivrées et chante bohème ma prunelle effeuillée. Où t’en vas-tu ma belle emperlée de rosée, ta main bohémienne vers cet univers tranquille où claironnent les anges, l’amour déshabillé, violée et dépouillée la chanterelle à la source abandonnée.
Voici ma petite blague pour ce premier avril :
Ce qui habille le mieux la femme c’est son nu, vive Slim Fast !
Ce qui déshabille l’homme et l’enrobe charnellement : les talents culinaires de sa femme.
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