Raconteuse d’émotions.
Aimer me semble une miette et mon chagrin d’amour une éternité.
Drain de mon cœur mes larmes à la sauvette …
Dis-moi quand se meurt la rose
à l’envol de la colombe …
Ils sont mille à t’aimer autant à te renier
et ce jeu d’enfant griffonnait des rêves de papier.
Et le temps mansardé, passé, présent, futur, ce lieu de tout-venant.
La petite marchande d’allumettes,
le soufre souffre-douleur,
à la blancheur d’une chandelle.
ô ! Marie si la vierge savait …
Et la lavandière lovait …
La noirceur de ce trèfle incarnat où s’étiolent quatre feuilles.
La marche des gueux,
la rampe des cieux,
la prunelle étoile immigrante à ces gestes du bout de tes doigts
pattes-doigt,
sous mes paupières
le bruit de tes pas,
d’un brouillon de levant la nuit ose,
la chouette hulule,
d’un déshabillé s’effeuille,
filigrane errant,
des sans-couleur,
un pouls noctambule d’une éphémère tétée.
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