Sonate des yeux.
Lyncher les maux, l’ouragan passe, enveloppe pâle de ta prunelle un bidonville bruine posée sur tes paupières. Un engouement un vieux jeu de lumière calfeutré sous ta poitrine, tu ouvres ta main, machine à rabâcher le temps tes petits doigts enfilent l’aiguille, éternel fil d’Ariane. Tu te sens paumer, môme aux yeux noirs … Dentelle bohémienne tes cils parsèment des gouttelettes d’ivresse duo des anges. Du haut de tes larmes s’entrebâille fenêtre une inaccessible caresse, les volets restent clos, l’ivraie de la faucheuse. Ne dire mot, tes lèvres livrées au rouet de tes sanglots.
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