Sortie en bonne de nuit.
Lumière tamisée, les fessiers se tortillent en bandes organisées, du plus potelets au fil à linge, des potes laids contemplent des poitrines quelques-unes gonflées, débordantes d’enthousiasme un peu trop, elles s’échappent de leur cage comme des folles. Puis il y a les autres celles qui faut chercher sous l’armature. Ah les pauvres ! Elles doivent être mal à l'aise coincées comme une concierge dans un ascenseur. D’autres derrières, un peu plus sauvages, pessimistes avec la peur de se monter, de se faire qualifier de miches de serin restent sereins, les fesses écrasées sur un siège. Il y a énormément de peuple, de personnes, sur la piste de danse : des gros, des grosses, des maigres, des grands, des petits, des moyens, quelle diversification d’espèce, oh mon dieu ! Dans un coin, presque dans l’obscurité se planquent les adeptes du journal … Comment dire, ils n’ont pas le feeling, ben ouais la drague ce n’est pas leur truc … Quelque par se cache une cendrillon, une marie souillon qui a peur de montrer son jupon. Au comptoir, les glaçons claquent ! Des âmes en perdition qui ici même se sont fait détrousser de leur nana, ah les cons !
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