La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Sur le pont des soupirs ...

Le vieux moulin

 

 

Laisse couler tes larmes mon ange.

Comme un retour à tes langes.

Accouche sans douleur de toutes tes douleurs.

Parsème de largesses ta couche pleureuse.

Berce d'un songe d'enfant le berceau de tes pleurs.

Recouvre d'une couette doucereuse la paillasse de tes heurts.

Laisse divaguer cette mémoire pleurnicheuse.

Pose tes remords, cette vieille rengaine  orgueilleuse !

Temps mort, étouffe la sous ton oreiller !

Réveille toi comme éclot un nouveau né.

 



16/04/2012
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