Un peu d’eau au fond d’un ruisseau …
La vie est un roman d'aubépine en aube épine.
Un souffle de vaurien et un cœur s'étreint. Des mots s’éreintent sans parchemin, des maux ruissellent vaguelettes sur un destin. Elle est fille de Baudelaire, le cœur en soufrière, souffre hier, l’été indien, festin au creux d’une autre main, dans la paume de sa main l’aphasie de quelques vocalises, le verbe aimer.
D’amourettes en amulettes, cacher sa clairvoyance dans des mondes de silence, l’amour en alternance, le souffle en obédience, la grande affiche du cœur en somnolence, drain de peine. Les cent pas d’un pas de sang, un ballet d’hirondelles, battements de cœur dans l’insouciance de l’insolence, à arme égale le monde est si beau. L’oiseau lyre est parfois ghetto sa lyre au fond d’un tombeau, fée des abysses, bise sur le front, bise au front, bise sur le ponton, poète d’un ailleurs, au vent pleureur, aux larmes dealer, dis leurs … Bis, l’âme en écluse, valse de mots en ecchymose, elle ose. Son cœur souffle mistral mais à l’interlude des nuages … Son cœur aux reflets de marelle s’enchevêtre de larmes de marins, de lèvres jouvencelle en bouche, félicité, décline l’aurore des années, l’âge en poussière d’étoile.
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