Un sourire d'été.
Des vers de l’indifférence déposés comme une gerbe
au pied de ma mémoire, une page blanche s’agenouille.
Mes rimes se disputent comme une vierge farouche.
Mes larmes interprètent du temps
dessinent un présent
et se déshabillent sans ride.
La nuit caresse ma verve
d’une tendresse apprivoisée
et se pleurent
mes regrets
comme une fleur se fane
et se fanent
mes regrets
comme une fleur effeuillée.
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