Une île.
Terre de beauté
et de bonté
où nos âmes épurées
sombreraient,
agenouillées
comme des gosses sages.
Heureux comme
un matin dormant,
roman d’ intimité
comme un voyage sauvage,
sans bagage
et sans âge,
cisaille de regrets,
arme blanche
de nos chagrins dansants,
main dans la main,
règne d’indigents,
indolents souverains,
nous serions témoins
de l’unique nous,
des moins que rien
enivrés d’un rien,
que nous,
leurre d’un besoin.
L’amour en artifice,
des larmes de bénitier
rôdeuses, frôleuses, pieuses
de nos jeunes années,
prieuses du jeun de nos souvenirs,
chut écoute le trépas
de nos lointains soupirs
et les pas
de mon cœur qui bat …
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